CIEF Alerte
Le Sénégal à l’école de la Malaisie dans la promotion de la Finance Islamique
Marchés Monétaire et Financier · 30/07/2021 à 10:57Dans un souci de relance, le Sénégal, pays de l’Afrique de l’Ouest, a décidé d’emboiter les pas de la Malaisie à travers le secteur de la finance islamique.
Depuis plusieurs décennies une grande partie de l’Afrique est en reste du développement économique. Dans un souci de relance, le Sénégal, pays de l’Afrique de l’Ouest, a décidé d’emboiter les pas de la Malaisie à travers le secteur de la finance islamique. Cette branche de la finance basée sur l’éthique et des règles islamiques a propulsé plusieurs pays avec en tête la Malaisie devant l’Arabie Saoudite.
En effet, la Malaisie semble devenir le parangon de la finance islamique moderne avec 14 banques islamiques et 8 fonds mutualistes. La valeur totale du secteur financier islamique s’est établie à 2 190 milliards de dollars en 2018 (1 958 milliards d’euros), selon un rapport de la Commission des Services Financiers Islamiques (IFSB) (Malaisie). C’est pourquoi, le Sénégal qui regorge plus de 90% de musulmans ne veut en aucun cas rester en marge. Bénéfique pour l’Afrique et surtout pour les pays d’obédience musulmane avec un taux d’intérêt nul, la finance islamique serait un levier de développement économique. Au constat, Les PME, pourraient en bénéficier si son expansion se concrétise en Afrique. Alors que 25 % de la population mondiale est de confession musulmane, certains estiment que 40 % à 50 % de leur épargne sera gérée par la finance islamique. Cette affirmation révèle le caractère indispensable de la finance islamique au Sénégal.
Par ailleurs, il est primordial de sensibiliser sur les effets retour de cette finance avant toutes initiatives. Il s’agira d’identifier les fonctions économiques des pays africains et leur adaptabilité.
Autres ALERTES
Malgré la baisse de la production pétrolière, le torche de gaz demeure une menace sérieuse pour le climat
Les effets néfastes de la pandémie du COVID-19 n’ont pas épargné le secteur pétrolier mondial. A l’observation, un ralentissement considérable de la production pétrolière journalière de 2019 à 2020. On note, une production de pétrole de 82 millions de barils par jour (b/j) en 2019 contre 76 millions de b/j en 2020.
Environnement et Perspective Macroéconomique · 29/07/2021 à 14:45La pénurie d’intrants essentiels menace la croissance économique en Europe
Un manque de matières premières actuellement mine la relance de l'économie européenne.
Crises et dynamique économique · 29/07/2021 à 14:4317 millions de dollars pour assurer la sécurité alimentaire en Afrique
L’Afrique en dépit de son énorme potentiel agricole avec un quart des terres arables du monde n’est qu’à environ 10% d’exploitation alors que la sécurité alimentaire y est un sujet de préoccupation majeur. En 2020, les importations alimentaires en Afrique, oscillaient entre 60 et 80 milliards de dollars.
Environnement et Perspective Macroéconomique · 29/07/2021 à 14:30L’inclusion des jeunes générations comme stratégie d’une gestion efficace de la dette des économies africaines
A l’observation, un énorme potentiel de croissance subsiste en Afrique. Dans cette logique, favoriser les réformes de l’économie africaine, l’orientation optimale de la dette et l’inclusion de la jeunesse dans le dialogue sur la dette, seraient des leviers pour booster la croissance africaine, et susciter une réduction du niveau de la dette.
Trésorerie et Dette · 29/07/2021 à 14:25L’inclusion des jeunes générations comme stratégie d’une gestion efficace de la dette des économies africaines
A l’observation, un énorme potentiel de croissance subsiste en Afrique. Dans cette logique, favoriser les réformes de l’économie africaine, l’orientation optimale de la dette et l’inclusion de la jeunesse dans le dialogue sur la dette, seraient des leviers pour booster la croissance africaine, et susciter une réduction du niveau de la dette.
Trésorerie et Dette · 29/07/2021 à 14:25